Suite à la politique d’attractivité menée depuis 2020, la commune a accueilli une cinquante de nouveaux arrivants.
Un linéaire de voirie de 95 km, un bâti communal conséquent (mairies, salles polyvalentes et associatives, locaux techniques dans chacune des communes) impactent les charges de fonctionnement du budget de la collectivité.
L’agriculture occupe une place importante de l’économie locale : 56 agriculteurs pour une surface exploitée d’environ 4500 hectares.
Le tissu économique est bien représenté : 37 entreprises artisanales (7 du domaine de l’alimentaire, 14 du domaine du bâtiment, 10 du domaine des services, 6 du domaine de la fabrication) et 29 commerces pour un bassin d’emploi d’environ 50 salariés.
La Commune dispose de nombreux services (écoles, collège, maison médicale, professions libérales, poste banques …) et d’équipements (salle omnisports, gymnase, city stade, piscine…).
Enfin, la richesse du patrimoine historique (4 églises dont une inscrite au titre des Monuments Historiques, maisons à tourelles, chapelles…) et des sites (retenue du barrage d’Enchanet, Vallée de la Dordogne, forêt de Miers…) font que le tourisme est un vecteur important de développement qui conduit la nouvelle municipalité à requalifier les structures d’accueilet d’hébergement du camping d’Entassit.
L’ensemble Saint Joseph représente quelques 1200 m² sur 2 niveaux et se développe en 3 ailes. Il est situé au coeur du bourg de Pleaux, avec un accès direct sur la place de la mairie entre les numéros 67 et 59.
La commune vient d’acquérir cet ensemble positionné sur les parcelles 372,619, 368 et en partie sur la parcelle 376. (une partie de cette parcelle reste la propriété du diocèse pour l’institution qui accueille aujourd’hui une trentaine d’élèves scolarisés en primaire.)
Histoire : Dès 1808, des religieuses de Saint-Joseph (congrégation qui naquit au Puy et qui avait pour but l’éducation et le soulagement des pauvres) s’installèrent à Pleaux à l’initiative de l’abbé Mailhes, curé de Pleaux, dans l’ancien hospice Saint-Charles qui n’était plus habité faute de revenus. On leur attribua le titre de Dames de charité en souvenir des dames fondatrices de la confrérie de charité.
En 1814 l’abbé Mailhes leur acheta ces bâtiments plus fonctionnels situés sur l’enclos Lascombes, ancien fief des Tournemire de Scorailles. Cet enclos comprenait la chapelle, le parloir et un bâtiment qui les reliait au sud. Devant ces derniers, s’étendaient une cour et un jardin. Cet établissement réputé dispensait aux jeunes filles une instruction qui les amenait jusqu’au bac.